jeudi 1 avril 1971

La fausse éducation nationale 1936


Titre Original : La fausse éducation nationale l'emprise Judéo-Maçonnique sur l’École Française
Auteur principal: Bertrand Jean
Autres Auteurs: Wacogne Claude
Editeur:
Relié: 1936
ISBN:
Licence:
Langues: Français
Pages: 59
Genre: Book,
Note:

Résumé:
« La france est le seul pays où l’enseignement officiel n’ait pas d’autre tâche que de détruire obstinément tout ce qu’il devrait conserver et dérobe à la nation la connaissance de sa propre grandeur. » Abel Bonnard (Les Modérés) - 1936 PRÉFACE. L‘ouvrage que présentent aujourd’hui au public Jean Bertrand
et Claude Wacogne n’est pas l’oeuvre d’écrivains isolés, mais bien celle d’une équipe de spécialistes ayant amassé depuis quinze ans, d’abord à la rédaction de la libre parole, ensuite au sein du c. a. d., une documentation importante sur l’activité de la Juiverie et des Sociétés Secrètes. Les archives maçonniques saisies dans les Loges depuis 1940 ont apporté un précieux appoint au volumineux dossier déjà constitué avant la guerre et que les perquisitions effectuées à nos bureaux et à notre domicile par les sbires de Blum et de Mandel n’avaient pas réussi à faire complètement disparaître. Cette modeste brochure est mieux qu’un ouvrage de propagande : c’est un véritable document qui livre, presque sans commentaire, la preuve de l’enjuivement de l’Enseignement français et de l’emprise maçonnique sur l’Éducation Nationale. Les noms qui sont cités tout au long de l’ouvrage sont extraits de l’important fichier judéo-maçonnique que possède le centre d’action et de documentation, fichier établi à l’aide des documents maçonniques saisis, des périodiques et des annuaires israélites rassemblés depuis la dissolution des Loges et l’éviction des Juifs de l’économie et de la politique françaises. C’est dire combien rares seront les erreurs qui auraient pu se glisser dans le texte de cette brochure. Il va sans dire que nous rectifierons, dans les éditions suivantes, toute méprise ou omission qui pourrait nous être signalée. Dans les lignes qui suivent, Jean Bertrand et Claude Wacogne ont fréquemment employé les termes « révolutionnaires », « révolution », pour désigner les activistes de la Judéo-Maçonnerie et le but qu’ils se proposent. Il est bien évident que pour eux les « révolutionnaires » sont les Communistes, les Marxistes, dont la doctrine de chambardement s’oppose à celle de la Révolution Nationale. Jean Bertrand et Claude Wacogne sont, eux aussi, des révolutionnaires, mais des révolutionnaires nationaux. Et ces révolutionnaires nationaux n’ont pas attendu 1940 pour manifester leurs sentiments et pour combattre l’ennemi qu’ils démasquent ici. Le c. a. d. La stabilité du régime maçonnique assurée par l’éducation. Celui qui serait maître de l’éducation, dans un pays pendant cinquante ans, serait maître de l’avenir de ce pays. Leibnitz. Au premier rang des responsables de la situation actuelle de la France, figure l’école qui a été trop longtemps et à un rythme de plus en plus accéléré, propagatrice de toutes les idéologies marxistes et pro-bolcheviques ; c’est l’école laïque, qui a, en grande partie, provoqué la désagrégation morale et sociale de la France ; le développement des doctrines marxistes fondées sur la lutte des classes et sur l’internationalisme, avait ouvert la porte de nos écoles publiques à des maîtres et à des maîtresses qui s’étaient laissés entraîner vers un enseignement faussé, antinational, et qui étaient beaucoup plus préoccupés de faire jouer à leurs élèves un rôle politique, qu’à les éduquer. En 1934, dans un discours prononcé à Caen, le Maréchal Pétain avait souligné le danger que faisait courir au pays l’entreprise de démolition nationale menée par les instituteurs syndicalistes révolutionnaires. Il lui apparaissait que l’Éducation Nationale d’un peuple est la plus haute et la plus importante des tâches nationales ; or, cette Éducation fut engagée dans une mauvaise voie. C’est le but de cette étude d’en rechercher les raisons. Nous allons montrer qu’une des causes profondes de la fausse Éducation Nationale réside dans l’emprise de la judéo-maçonnerie sur l’enseignement. Il n’est pas besoin que nous démontrions longuement l’identité de la République et de la Maçonnerie, elles ne faisaient qu’un, comme l’avouera le Convent du G ∴ O ∴ de 1924 (p. 393) : « La Maçonnerie, c’est la République à couvert », de même que « la République n’est autre chose que la Franc-Maçonnerie à découvert », a-t-on affirmé plus complètement encore. La Maçonnerie, noyautée de Juifs et souvent inspirée par eux, dirigeait donc en fait le pays ; en examinant ses agissements et son emprise sur l’éducation nationale, nous aurons ainsi la clé des tristes résultats de l’école officielle. ...
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